le rouge et noir

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LE BELEM

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vendredi 26 novembre 2010

Les Barbarians : 30 ans d'histoire

Mais qu'est ce qui se cache derrière ce nom barbare ?

"Des Barbarians, il y en a plein dans le Monde mais la matrice est en Angleterre. C'était un club sans foi ni loi mais pas sans esprit. Ils jouaient une semaine avant Pâques sur le littoral gallois, une autre fois entre Noël et le jour de l'An à Leicester et puis, contre des équipes de l'hémisphère sud, avec toujours dans leur groupe, un non-international. Un matchest resté dans toutes les mémoires, celui de 1973 à Cardiff entre les Baa-Baas (diminutif à usage domestique) et les All Blacks.
Ainsi s'est bâtie cette légende, hors du temps d'un club dont le concept est si fort qu'il a fait des petits ailleur : les Crawshays Gallois, les Wolfhounds Irlandais, les Zèbres Italiens et tout simplement les Barbarians de Nouvelle-Zélande, d'Australie, d'Afrique du sud, de France, des Fidji et les derniers en date, d'Argentine, avec un ministre comme president, Son Excellence Hugo Porta. Bien entendu, les latins que nous sommes ont éprouvé quelques difficultés à se reconnaitre dans cette esprit de fol amusement, jusqu'à l'enfantillage, jusqu'au trop plein d'attaques et de bière. Forcément, l'exutoire n'a pas la même signification des deux côtés de la Manche.
Donc c'est en 1978 que ce cher Pastrou (George Pastre) poussa les feux avant de partir en retraite pour que la France ait enfin ses Baa-Baas. Message reçu par ces coquins de Ferrasse, Basquet, Fouroux et ses potes du grand chelem 1977 qui virent aussitôt le parti qu'ils pourraient tirer de cette opération-séduction"

 Source
 http://frenchbarbarian.free.fr/content/accueil/home_jdc.htm





Finale Masters 2010 / Biarritz Cesta Punta

dimanche 7 novembre 2010

La musique et moi

Lorsque j’arrivais chez mes amis d’enfance, j’étais souvent accueillie par le chant d’un piano. J’aimais regardé mon premier amour travaillé ses gammes, un jour il a voulu qu’on joue un morceau à 4 mains.  Je ne me souviens pas du résultat,  mais vu que je suis toujours en contretemps, je crains le pire. C’est peut être la raison pour laquelle je ne m’en souviens pas.  Puis nous descendions dans cette  pièce  accolé  au garage. Il y avait dans cette pièce tout ce qu’il fallait pour passer d’agréables moments. Des livres, des disques, un  poste de télévision, un sofa pour nous permettre de faire des parties de tennis, c’était loin des jeux de maintenant, mais nous y avons joué des heures durant. Puis Loulou, son frère arrivait avec un ami, il se mettait à la batterie, il était suivi de peu par son frère qui prenait sa guitare et un 3ème prenait la basse. J’ai passé des heures à les écouter en lisant « Michel Vaillant », « Rahan » « Natacha Hôtesse de l’air » « Buck Dany ». Qu’il était agréable de ne rien faire, de ne plus penser à rien, juste se laisser porter par la musique et les images. Faire vivre d’autres aventures aux personnages que celles que leurs « parents » ont écris.
Aujourd’hui lorsque je vais voir les « BAD IN », les PENN’DU » en répétition, je retrouve un peu cette ambiance.


La rosée du matin 

mercredi 3 novembre 2010

Un apprenti devenu pirate

Ce week-end , mon pirate a fait escale dans la Capitale. Depuis notre dernière rencontre il a pris du galon et il possède dorénavant son propre navire. Il en est d’ailleurs très fier, et c’est à bord  de ce dernier que nous avons remonté la Seine.  Je n’aurais jamais imaginé qu’un jour, il serait là à déguster du rhum arrangé dans mon salon. Il me narrait les aventures qu’il avait vécu durant ces longs mois de navigation. Il semblait aussi à l’aise que dans une cabine de voilier. Cependant quelque chose avait changé, c’est qu’il n’était pas le maître des lieux et ne savait comment me demander, où se trouvait le lieu de mes rendez-vous avec Morphée.  Je lui ai pris la main et l’ai guidé…

Au petit jour à mon réveil, grande fût ma surprise de voir qu’il était là tout prêt de moi. Cette nuit là, je n’avais pas rêvé, nous nous sommes aimés et pour la première fois depuis de nombreux mois, je n’ai pas eu peur de me sentir femme.

Puis il a fallu qu’il regagne les mers, je n’ai su que lui dire merci. Arriverai-je un jour à trouver les mots pour lui dire comme ses baisers, ses caresses, sont arrivées à me délivrer de mes chaînes, à me sentir apaisée et vraiment très heureuse. 

Comme j’aimerais être dans ses pensées, savoir s’il attend l’arrivée d’un messager qui lui dirait que sa belle l’attend et qu’elle espère qu’il pourra virer de cap et venir accoster dans ce petit havre de paix, ne serais-ce que pour quelques heures. N’ayant pas cette faculté, les pigeons sont restés dans la volière.
Et rien n’est plus agréable que de recevoir la visite d’une belle chouette blanche qui en frappant à ma fenêtre me donnerait le lieu d’un prochain rendez-vous…

La rosée du matin


Merci à mon tit chval pour l'image